faites la photo d'une
pomme géante
classe de
quatrième
Cette
leçon est issue d'un travail de groupe en stage de formation organisé
au FRAC des Pays de Loire en novembre 2000. L'incitation donnée pour
cette leçon a été proposée par une collègue stagiaire dans le cadre
d'une réflexion collective sur l'ouvre de Simone Decker,Jérémy, exposée alors au F.R.A.C.

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intentions
se questionner
sur la notion d'échelle
aborder les
notions d'artifice, de trompe l'oil en relation avec le point
de vue et le cadrage
aborder la
notion de "monumental" en sculpture
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contrainte
utilisez
une vraie pomme
à disposition
le
matériel de la classe et ce que les élèves peuvent apporter la
semaine suivante
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références aux
programmes
introduire un travail sur l'image, tant du point de vue
de sa fabrication que de celui de son utilisation |
travail
par équipes de 2 2
séances |

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références
artistiques ayant servies à la construction de la
leçon
texte de
Jean François Taddei sur le travail de Simone Decker
(consultable au FRAC ou sur le site du Centre National de
la Photographie www.cnp-photographie.com,
rubrique pédagogique, Simone Decker).
Arstudio
n°19 L'art et l'objet. Claes Oldenburg,(p.40 à 55) |
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"Au
début on voulait faire un dessin, mais un dessin n'a pas de
taille réelle. La voiture est connue, on imagine sa taille
et donc la proportion de la taille de la pomme ". Renan
et Thomas |
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la
verbalisation fait apparaître les questions de point de
vue, d'échelle, d'image trompeuse... |
"
On a mis une pomme au premier plan et Alexandre au deuxième plan
en les superposant." Alexandre et Charlie.
" Nous on a
réduit le paysage autour de la pomme". Sabine et
Lola

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"
On a fabriqué quelque chose en miniature ". Marion
et Vincent.
"
Cela crée une disproportion." Mathieu
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documents
montrés
- Simone
Decker
Jeremy, 1999, photo
sur caisson lumineux
Chewing-gum de Venise (Biennale 2000)
- Claes
Oldenburg, Clothpin, 1976, 14m , acier
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J'ai testé ce travail
avec des classes de niveau 5e avant d'accueillir au collège l'ouvre
de Simone Decker. L'incitation a été donnée à la fin de la
séance précédente afin que les élèves puissent apporter des
éléments ou des matériaux en fonction de leur projet. Le
travail s'est donc déroulé sur une période d'environ une
demi-heure et est nettement moins satisfaisant même si les idées
exploitées sont sensiblement les mêmes.
Jean
François Masson. Collège Paul Eluard. 49
Gennes.
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