- Faire converger dynamiquement deux visions différentes
: le chaînage est dans un premier temps construit à
l'aide de boutons (macro) et ensuite comparé avec l'expression
entrée directement avec la syntaxe du tableur (= (A2-6)^2
+ 5) (on compare en fait les images calculées par les
2 visions dans un tableau de valeurs).
- Permettre une démarche d’expérimentation et d’ajustement
: l'éleve ajuste le chaînage ou son expression "Excel"
jusqu'à obtenir une convergence sur un tableau de valeurs.
On constate en pratique qu'il y a autant de problèmes
dans la construction du chaînage que dans la mise en
place de l'expression (problème avec les parenthèses...).
- Rendre visible les représentations des élèves
(on a accès à la façon dont il comprend une expression
algébrique).
- Permettre d’évaluer la maîtrise des élèves
(on ne corrige plus le chaînage au bout de 30 secondes
comme en classe au tableau...).
- Réfléchir à la nature des objets manipulés et des réponses données par l’ordinateur
(voir aussi les limites)
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