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L'air est mesuré par la DRIRE ( Direction Régional de l'Industrie de la Recherche et de l'Environnenment.) pour surveiller sa qualité, pour ainsi engager des démarches en cas de fort taux de pollution.Pour ce dossier, je me suis concentrée sur l'agglomération nantaise en m'appuyant principalement sur l'année 1996.
La Loire en compagnie du pont de Cheviré.
Premièrement, en 1996, la pollution atmosphérique est restée en général faible tout au long de l'estuaire.
Secondement, l'indice "atmo" qui détermine la qualité de l'air sur une échelle, a été bon ou assez bon sur l'ensemble de l'année.
Quant aux taux de dioxyde de soufre, de poussières et de plomb, ils sont moins élevés par rapport aux précédentes années.
Mais comme ces polluants sont dangereux pour la santé, il faut prêter attention à leur concentration nocive pour la santé, en particulier celle de l'ozone, des poussières et du dioxyde d'azote qui proviennent principalement des véhicules. Ces fortes concentrations sont souvent dues à la faible dispersion des polluants, mais également au fort ensoleillement pour l'ozone....
Toutefois, des mesures ont été prises ; comme par exemple une loi ayant pour objectif la surveillance de l'air et l'information de la population ou bien les filtrages de certains rejets polluants... pour ainsi atténuer la pollution atmosphérique.
Etre vigilant c'est bien, mais il faudrait poursuivre et renforcer cette vigilance.
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