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Plastique à la loupe au lycée Notre Dame à Rezé
Le lycée Notre Dame de Rezé participe au projet national « Plastique à la Loupe ».
Une nouveauté cette année au Lycée Notre-Dame à Rezé : l'ouverture de classes "à enjeux maritimes" !
À ce titre, la classe de seconde B est inscrite au projet Plastique à la loupe (clic sur le lien pour en savoir plus).
Une visioconférence a permis de bien appréhender les enjeux liés à cette collecte, notamment l'analyse fine réalisée par les chercheurs et la nécessité de suivre un protocole précis lors du ramassage. Celui-ci se déroulera sur la plage de Villefranche sur mer en mars 2026.
La classe contribuera ainsi à fournir des données scientifiques exploitables aux chercheurs.
Alice le Dot, une élève de la classe vous présente le projet et ce qu'elle a retenu de la visioconférence :
" Plastique à la loupe est un projet créé en 2019 qui vise à enrichir la base de données des déchets plastiques sur les berges des fleuves, des rivières et sur les plages pour permettre la sensibilisation par les chiffres, pour informer et discuter de cette situation au gouvernement (Ministère de l'Environnement).
Ce projet a été créé par Tara Océan et est financé par le gouvernement et les mécénats.
PAL a été mis en place, car le nombre de déchets plastiques dans les mers et océans ne cesse d'augmenter. Des chercheurs estiment qu'en 2050, la masse des poissons sera égale à celle des déchets plastiques.
Depuis les 15 dernières années, il y a deux fois plus de déchets plastiques dans les océans et plus de + 80 % des déchets plastiques de la mer viennent des continents.
Ce projet regroupe 40 scientifiques pour estimer la pollution plastique dans le monde, mais hélas 40 ce n'est pas beaucoup, c'est pour cela que 1500 élèves dans environ 800 classes de différentes écoles viennent en aide aux scientifiques dans leurs tâches afin de récupérer un maximum de données sur les déchets plastiques.
Pour ne pas être envahi par les déchets, dans quelques années, il faut limiter sa consommation au maximum.
D'après Monsieur Gighlione, chercheur au CNRS, que nous avons vu en visioconférence : "Pour vaincre, il faut comprendre"."