attirer le regard

ensuite travail soit individuel ou par équipes de deux,
(salle multimédia  à 14 postes plus ou moins opérationnels et hall).

J'ai testé une classe qui réalisait les deux projets, in situ et Virtuel, les deux autres doivent choisir en fonction de leur proposition la réponse la plus adaptée.
Le travail mené a été plus réfléchi en numérique, les propositions in situ étant souvent des installations d'objets sur le sol.
Les élèves ont passé deux séances devant l'ordinateur, deux groupes se sont donc succédés, en parallèle ils avaient une recherche à faire sur l'engagement des artistes au XXe et XXIe siècle.
Ils ont eu le libre choix du logiciel, passant d'ailleurs souvent de l'un à l'autre en fonction des outils (Photophiltre, Paint, Corelphotopaint, Gimp)

Le travail final  devait être forcément une trace de leur installation (photo ou vidéo), et pour le virtuel une  ou de(s)image(s) numérique(s), fixe(s) ou mobile(s).

compétences
en ce qui concerne le travail in situ
faire l'expérience d'une approche sensible de l'espace
produire in situ
produire du sens en disposant des objets, des matériaux, des volumes dans un espace déterminé,

rapport entre le corps du spectateur et l'œuvre, être dedans, déambuler, interagir.

en ce qui concerne le travail infographique
mettre en œuvre des matériels et différents logiciels à des fin de création, d'exposition, de présentation.

6e séance
observation, verbalisation, références.
références
 (en insistant sur l'engagement de l'artiste, sur la nature de l'espace de l'oeuvre : espace public, d'exposition, musée)
Exposition Sol System à la Passerelle à Brest :
Virginie YASSEF : Flip Flop, 1999.
Installation performance, 50 tongs mises à la disposition du public,
Paul KAISER et Shelley ESKAR : Pedestrian, 2001-2002.
BANKSY : 18 minutes Chalk Farm, Londres, 2008.
Doris SALCEDO : Shibboleth, Tate Modern, Londres 2007.

 

Tout au long du projet les élèves ont à tenir un carnet de bord.