Espace pédagogique

l’autoévaluation au cœur de la formation

Un élève qui mesure ce qu'il sait et ce qu'il sait faire est capable de mieux comprendre et de mieux s'impliquer pour de nouveaux apprentissages. Les temporalités et les formes d'autoévaluation sont plus ou moins pertinentes et nécessitent un guidage progressif par l'enseignant. Une progression est à envisager à mesure de la scolarité pour donner à chacun la possibilité de s'auto former.

Consacrer du temps pour l'autoévaluation et l'objectiver, c'est donner la possibilité aux élèves d'apprendre à apprendre et de devenir autonomes. Face à des élèves qui « ne savent pas s'autoévaluer » certains enseignants renoncent à mettre en œuvre cette pratique. Or, les programmes EPS indiquent pourtant que cette compétence doit être construite.

L'autoévaluation des connaissances apparaît comme une aide à la construction du sens pour l'élève et comme un moyen d'acquisition de nouvelles compétences. Pour la faciliter, il est possible de classifier les différents types d'autoévaluations à mettre en œuvre au profit des élèves : l'autoévaluation, avant, pendant ou après l'action ? Selon quelles formes ? Quels en sont les leviers et les freins dans le cadre de nouveaux apprentissages ? Une illustration est proposée en volley-ball, niveau 2.

Auteur(s) :
Jean-Luc DOURIN, professeur d'EPS, 44

Information(s) pédagogique(s)

Niveau :
tous niveaux
Type pédagogique :
démarche pédagogique
Public visé :
enseignant, chef d'établissement, élève, parent
Contexte d'usage :
milieu professionnel
Référence aux programmes :
Programmes en EPS collège 2008, LP 2009, lycée 2012, socle commun.

Fichier joint

enovEPS4P2A4DOURIN.pdf application/pdf 349 Ko
Fichier PDF 9 pages

Document(s) complémentaire(s)