- tous niveaux
- préparation pédagogique
- enseignant
- travail à distance
Buren, Stark, Grünewald
Des œuvres qui prennent en compte des espaces différents.
analyse de l'œuvre de Buren et Bouchain
Les Anneaux de Daniel Buren et Patrick Bouchain, 2007, sculpture réalisée sur le quai des Antilles à Nantes lors de la biennale d'art contemporain Nantes Estuaire.
Il s'agit d'une œuvre en 3 dimensions composée de 18 anneaux de 4 mètres de diamètre chacun disposés à intervalles réguliers sur une ligne droite de 800 mètres formée par le quai des Antilles sur l'île de Nantes.
Les anneaux sont parallèles les uns aux autres et sont orientés légèrement en oblique par rapport à la perpendiculaire du quai à l'aplomb de ce quai. Ils sont fixés par une pâte métallique qui les surélève légèrement par rapport au sol. Les tranches extérieures des anneaux composent une série de 5 bandes de 8,7 cm de large alternativement grises et blanches.
De nuit, les anneaux s'auréolent de halos lumineux rouges, vert, bleus qui s'alternent de façon régulière.
Cette œuvre est proposée à voir au bord de la Loire en ville sur l'île de Nantes ou depuis les berges de l'autre côté de la Loire.
Les anneaux sont constitués d'une structure en métal à laquelle est ajoutée un néon de couleur.
Les Anneaux de Daniel Buren et Patrick Bouchain, 2007, sculpture réalisée sur le quai des Antilles à Nantes lors de la biennale d'art contemporain Nantes Estuaire.
Il s'agit d'une œuvre en 3 dimensions composée de 18 anneaux de 4 mètres de diamètre chacun disposés à intervalles réguliers sur une ligne droite de 800 mètres formée par le quai des Antilles sur l'île de Nantes.
Les anneaux sont parallèles les uns aux autres et sont orientés légèrement en oblique par rapport à la perpendiculaire du quai à l'aplomb de ce quai. Ils sont fixés par une pâte métallique qui les surélève légèrement par rapport au sol. Les tranches extérieures des anneaux composent une série de 5 bandes de 8,7 cm de large alternativement grises et blanches.
De nuit, les anneaux s'auréolent de halos lumineux rouges, vert, bleus qui s'alternent de façon régulière.
Cette œuvre est proposée à voir au bord de la Loire en ville sur l'île de Nantes ou depuis les berges de l'autre côté de la Loire.
Les anneaux sont constitués d'une structure en métal à laquelle est ajoutée un néon de couleur.
Buren est intéressé par la double perspective qui s'offre au promeneur. Elle est dessinée par l'architecture du quai mais aussi par la Loire qui s'ouvre largement à cet endroit. Avec l'architecte Patrick Bouchain, ils proposent de rythmer le quai d'une série d'anneaux qui offrent un découpage du ciel et de la terre. L'œuvre et le paysage environnant se découvrent dans un parcours spatio-temporel, elle incite le spectateur à parcourir le quai pour découvrir les différents points de vue.
Ces cadrages permettent de mettre en valeur le paysage.
La tranche extérieure des anneaux laissent apparaître une série de bandes signature de l'artiste. La nuit, les anneaux s'auréolent d'halos lumineux rouges, verts, bleus modifiant à nouveau la perception de l'œuvre et de l'espace environnant.
Ces cadrages permettent de mettre en valeur le paysage.
La tranche extérieure des anneaux laissent apparaître une série de bandes signature de l'artiste. La nuit, les anneaux s'auréolent d'halos lumineux rouges, verts, bleus modifiant à nouveau la perception de l'œuvre et de l'espace environnant.
Cette œuvre est une commande publique de la métropole Nantes Saint-Nazaire.
Les Anneaux de Daniel Buren et Patrick Bouchain, 2007 |
analyse de l'objet crée par Philippe Starck
Dr Skud, tapette à mouche, 1998.
Il s'agit d'une spatule avec un manche dont l'extrémité forme un trépied. La tapette mesure 44 cm de long, la spatule 6,7 cm de large et 9,3 cm de long.
La spatule présente un visage humain qui apparaît lorsque l'on agite la tapette.
Elle se décline en quatre couleurs : bleu, gris, vert, orange.
C'est un objet fonctionnel de design en plastique souple teinté dans la masse. Il s'agit d'un objet manufacturé à destination du grand public.
Le nom que Philippe Starck donne à cet objet, Docteur Skud, évoque explicitement le Skud, missile militaire destiné à frapper très rapidement un objectif ou une cible précise, en l'occurrence, ici, une mouche.
De plus ce nom fait référence aux origines sociaux familiales du designer. En effet, il est fils d'un ingénieur aéronautique, il était dit-il « programmé pour faire des stations spatiales, des fusées ». Nous pouvons imaginer que le visage représenté est celui de l'inventeur du missile.
Et dans ce cas, utiliser ce visage pour écraser une simple mouche, confère à cet objet une dimension symbolique et critique. Il tourne le personnage et l'objet « missile » en dérision et nous instaure, nous, utilisateurs, potentielles victimes de l'arme réelle, comme les tout puissants soldats du quotidien. Cette tapette devient alors une sorte de loup ( demi-masque de velours ou de satin noir) derrière le quel nous nous cachons pour réaliser nos « actes criminels », une sorte d'alibi.
De plus, cet objet peut-être, grâce à son petit trépied, posé à la verticale comme une fusée prête à décoller. Dans cette position, la tapette fait aussi penser à un élégant verre à pied mais cela lui donne aussi un statut de sculpture posée sur son socle, donc d'œuvre d'art.
Cet objet par son esthétique, contribue aussi à agrémenter notre environement.
Dr Skud, tapette à mouche, 1998.
Il s'agit d'une spatule avec un manche dont l'extrémité forme un trépied. La tapette mesure 44 cm de long, la spatule 6,7 cm de large et 9,3 cm de long.
La spatule présente un visage humain qui apparaît lorsque l'on agite la tapette.
Elle se décline en quatre couleurs : bleu, gris, vert, orange.
C'est un objet fonctionnel de design en plastique souple teinté dans la masse. Il s'agit d'un objet manufacturé à destination du grand public.
Le nom que Philippe Starck donne à cet objet, Docteur Skud, évoque explicitement le Skud, missile militaire destiné à frapper très rapidement un objectif ou une cible précise, en l'occurrence, ici, une mouche.
De plus ce nom fait référence aux origines sociaux familiales du designer. En effet, il est fils d'un ingénieur aéronautique, il était dit-il « programmé pour faire des stations spatiales, des fusées ». Nous pouvons imaginer que le visage représenté est celui de l'inventeur du missile.
Et dans ce cas, utiliser ce visage pour écraser une simple mouche, confère à cet objet une dimension symbolique et critique. Il tourne le personnage et l'objet « missile » en dérision et nous instaure, nous, utilisateurs, potentielles victimes de l'arme réelle, comme les tout puissants soldats du quotidien. Cette tapette devient alors une sorte de loup ( demi-masque de velours ou de satin noir) derrière le quel nous nous cachons pour réaliser nos « actes criminels », une sorte d'alibi.
De plus, cet objet peut-être, grâce à son petit trépied, posé à la verticale comme une fusée prête à décoller. Dans cette position, la tapette fait aussi penser à un élégant verre à pied mais cela lui donne aussi un statut de sculpture posée sur son socle, donc d'œuvre d'art.
Cet objet par son esthétique, contribue aussi à agrémenter notre environement.
Philippe Starck Dr Skud, tapette à mouche, 1998. |
Mathias Grünewald Le retable d'Issenheim,1512 |
analyse de l'œuvre de Grünewald
Le retable d'Issenheim,1512, retable réalisé par Mathias Grünewald, maître du gothique tardif allemand.
Musée de Colmar.
Le retable d'Issemheim est une construction monumentale de 330cm par 590 cm, installée derrière l'autel de la chapelle du musée de Colmar.
Les retables sont des oeuvres à transformations, celui d'Issenheim comporte trois visions, une fermée, une première ouverture et une deuxième ouverture. Il se déploie dans l'espace et comme les anneaux de Daniel Buren, il peut prendre différentes formes.
Le retable est composé de panneaux de bois assemblés, peints à l'huile et relié à sa base par une prédelle.
Le retable retrace en raccourci la vie du Christ, la peinture de Mathias Grünewald se caractérise par sa capacité à rendre compte de la double identité du Christ comme fils de Dieu et homme.
On retrouve cette double lecture, vie terrestre et vie divine, car sur l'avers des volets l'aspect général est dramatique, les couleurs sont ternes, par contre l'intérieur du retable est lumineux, flamboyant et les couleurs sont somptueuses.
Sur la partie fermée, le peintre a représenté au centre une Crucifixion très sombre, le Christ est entouré d'un Saint-Sébastien à gauche et d'un Saint-Antoine à droite.
Sur la prédelle on trouve une Mise au tombeau dans un format très allongé.
La partie ouverte, comporte quatre épisodes de la vie du Christ, L'Annonciation, le Concert des Anges, une Nativité et pour clore une Résurrection.
La lumière est un des éléments principaux de cette partie ouverte. Ainsi par exemple pour la Résurrection, le christ suspendu dans les airs, à la vertical est entouré d'un halo circulaire qui part de son coeur, son visage irradié se fond dans la lumière. Par contraste, des soldats à terre sont allongés à l'horizontal.
Le retable avait une destination particulière, ainsi avant d'être exposé au musée de Colmar, cette oeuvre religieuse a été commandé par l'ordre des Antonins, fondé par Saint-Antoine. Il était installé à l'hôpital du couvent des Antonins à Issenheim pour soigner les personnes atteintes d'une maladie que l'on appelait le "feu Saint-Antoine"(empoisonnement à l'ergot de seigle).
Le retable ouvert, par son rayonnement, devait les guérir par miracle.
Donc ce retable avait une double destination, retracé la vie du Christ et devait à l'époque avoir des vertus miraculeuses.
Le retable d'Issenheim,1512, retable réalisé par Mathias Grünewald, maître du gothique tardif allemand.
Musée de Colmar.
Le retable d'Issemheim est une construction monumentale de 330cm par 590 cm, installée derrière l'autel de la chapelle du musée de Colmar.
Les retables sont des oeuvres à transformations, celui d'Issenheim comporte trois visions, une fermée, une première ouverture et une deuxième ouverture. Il se déploie dans l'espace et comme les anneaux de Daniel Buren, il peut prendre différentes formes.
Le retable est composé de panneaux de bois assemblés, peints à l'huile et relié à sa base par une prédelle.
Le retable retrace en raccourci la vie du Christ, la peinture de Mathias Grünewald se caractérise par sa capacité à rendre compte de la double identité du Christ comme fils de Dieu et homme.
On retrouve cette double lecture, vie terrestre et vie divine, car sur l'avers des volets l'aspect général est dramatique, les couleurs sont ternes, par contre l'intérieur du retable est lumineux, flamboyant et les couleurs sont somptueuses.
Sur la partie fermée, le peintre a représenté au centre une Crucifixion très sombre, le Christ est entouré d'un Saint-Sébastien à gauche et d'un Saint-Antoine à droite.
Sur la prédelle on trouve une Mise au tombeau dans un format très allongé.
La partie ouverte, comporte quatre épisodes de la vie du Christ, L'Annonciation, le Concert des Anges, une Nativité et pour clore une Résurrection.
La lumière est un des éléments principaux de cette partie ouverte. Ainsi par exemple pour la Résurrection, le christ suspendu dans les airs, à la vertical est entouré d'un halo circulaire qui part de son coeur, son visage irradié se fond dans la lumière. Par contraste, des soldats à terre sont allongés à l'horizontal.
Le retable avait une destination particulière, ainsi avant d'être exposé au musée de Colmar, cette oeuvre religieuse a été commandé par l'ordre des Antonins, fondé par Saint-Antoine. Il était installé à l'hôpital du couvent des Antonins à Issenheim pour soigner les personnes atteintes d'une maladie que l'on appelait le "feu Saint-Antoine"(empoisonnement à l'ergot de seigle).
Le retable ouvert, par son rayonnement, devait les guérir par miracle.
Donc ce retable avait une double destination, retracé la vie du Christ et devait à l'époque avoir des vertus miraculeuses.
Ces trois œuvres prennent en compte des espaces différents :
Espace public et urbain, espace religieux et architectural, et espace privé/espace quotidien.
Deux des œuvres modifient l'espace et se perçoivent de différentes manières en fonction de l'endroit ou le moment ou nous voyons l'œuvre : jour/nuit pour l'œuvre de Buren, ouvert/fermé pour le retable.
L'œuvre peut elle amener le spectateur à avoir un autre regard sur l'espace environnant ?
L'objet peut-il influer sur son environnement,
Comment un objet peut-il à la fois montrer et cacher,
L'objet peut-il prendre différentes formes en fonction de son usage ou de son environnement?
Le point de vue :
Existe-t-il un seul point de vue pour voir une œuvre ?
Perçoit on une œuvre différemment en fonction de l'endroit ou se trouve le spectateur ?
La place du spectateur joue t-elle un rôle dans la perception d'une œuvre ?
Cette entrée permet d'explorer les modalités et les lieux de présentation de l'objet (exposition, installation, intégration, le musée, la vitrine, l'espace quotidien, l'écran).
Espace public et urbain, espace religieux et architectural, et espace privé/espace quotidien.
Deux des œuvres modifient l'espace et se perçoivent de différentes manières en fonction de l'endroit ou le moment ou nous voyons l'œuvre : jour/nuit pour l'œuvre de Buren, ouvert/fermé pour le retable.
L'œuvre peut elle amener le spectateur à avoir un autre regard sur l'espace environnant ?
L'objet peut-il influer sur son environnement,
Comment un objet peut-il à la fois montrer et cacher,
L'objet peut-il prendre différentes formes en fonction de son usage ou de son environnement?
Le point de vue :
Existe-t-il un seul point de vue pour voir une œuvre ?
Perçoit on une œuvre différemment en fonction de l'endroit ou se trouve le spectateur ?
La place du spectateur joue t-elle un rôle dans la perception d'une œuvre ?
Cette entrée permet d'explorer les modalités et les lieux de présentation de l'objet (exposition, installation, intégration, le musée, la vitrine, l'espace quotidien, l'écran).
références aux programmes
page 3
« l'élève, par le travail en volume, pourra expérimenter le plein et le vide, la résistance et l'expressivité des matériaux, l'équilibre, la multiplicité des points de vue, la mise en espace et l'échelle »
page 4
« sans délaisser l'espace plan, ils se sensibilisent à la réalité spatiale de certaines œuvres : sculpture, environnement, installation, œuvre in situ, scénographie, chorégraphie cinéma, vidéo »
« Autant de domaines d'expression qui peuvent être explorés dans des séquences d'apprentissage afin de conduire les élèves à concevoir et à projeter l'espace, à l'expérimenter physiquement par la perception et la sensation »
niveau 6ème
« établir une relation sensible aux objets, par leur fabrication, leur représentation, et leur mise en espace. »
niveau 3ème
« L'objet et son environnement : cette entrée permet d'explorer les modalités et les lieux de présentation de l'objet (exposition, installation, intégration, le musée, la vitrine, l'espace quotidien, l'écran) et plus particulièrement le traitement (le cadre, le socle, le piédestal).
« Affiner la perception des dimensions de l'espace et du temps comme éléments constitutifs de l'œuvre : œuvre in situ, installation, environnement et les différentes temporalités de celles ci : durée, pérennité, instantanéité. L'espace de présentation de l'œuvre : rapport entre l'échelle de l'œuvre et l'échelle du lieu, accrochage, mise en scène, éclairage. »
que vont apprendre les élèves
niveau 6ème
« Les situations permettent d'inventer, fabriquer et détourner des objets. (...) Les élèves sont amenés à :
- Adapter une forme à une fonction dans la conception d'un objet.
- Explorer différentes modalités de représentation,
- Repérer des caractéristique qui permettent de distinguer la nature des objets (objet d'art, objet usuel, objet symbolique, design »
niveau 3ème
« Les dispositifs d'enseignement permettront aux élèves d'apprendre à :
- Expérimenter et réaliser des productions en rapport avec l'espace « ... »
- Produire in situ, exposer leur travaux selon différentes modalités.
Elles permettent également de modifier des espaces pour en travailler le sens. Les élèves sont amener à :
- Expérimenter physiquement l'espace bâti ;
- Modifier les points de vue fixes et mobiles ;
- Transformer la perception d'un espace par modification de la lumière, des couleurs, et intrusion d'effets visuels ou d'objet
« ... »
Elles permettent de découvrir et de s'approprier l'environnement quotidien. Les élèves sont amenés à :
- Répertorier des modalités d'exposition : accrochage, mise en scène, mise en espace ;
- Découvrir des pratiques artistiques contemporaines en relation avec l'espace : in situ, installation, environnement, lad art. »
compétences
Les élèves ont acquis une expérience artistique suffisante pour :
- Réaliser une production artistique qui implique le corps (geste, mouvement, déplacement, positionnement dans l'espace) ;
- Produire du sens en disposant des objets, des matériaux, des volumes dans un espace déterminé.
- Prendre en compte le lieu et l'espace comme éléments constitutifs du travail ;
- Transformer la perception d'un espace (représenté, naturel, ou construit). »
page 3
« l'élève, par le travail en volume, pourra expérimenter le plein et le vide, la résistance et l'expressivité des matériaux, l'équilibre, la multiplicité des points de vue, la mise en espace et l'échelle »
page 4
« sans délaisser l'espace plan, ils se sensibilisent à la réalité spatiale de certaines œuvres : sculpture, environnement, installation, œuvre in situ, scénographie, chorégraphie cinéma, vidéo »
« Autant de domaines d'expression qui peuvent être explorés dans des séquences d'apprentissage afin de conduire les élèves à concevoir et à projeter l'espace, à l'expérimenter physiquement par la perception et la sensation »
niveau 6ème
« établir une relation sensible aux objets, par leur fabrication, leur représentation, et leur mise en espace. »
niveau 3ème
« L'objet et son environnement : cette entrée permet d'explorer les modalités et les lieux de présentation de l'objet (exposition, installation, intégration, le musée, la vitrine, l'espace quotidien, l'écran) et plus particulièrement le traitement (le cadre, le socle, le piédestal).
« Affiner la perception des dimensions de l'espace et du temps comme éléments constitutifs de l'œuvre : œuvre in situ, installation, environnement et les différentes temporalités de celles ci : durée, pérennité, instantanéité. L'espace de présentation de l'œuvre : rapport entre l'échelle de l'œuvre et l'échelle du lieu, accrochage, mise en scène, éclairage. »
que vont apprendre les élèves
niveau 6ème
« Les situations permettent d'inventer, fabriquer et détourner des objets. (...) Les élèves sont amenés à :
- Adapter une forme à une fonction dans la conception d'un objet.
- Explorer différentes modalités de représentation,
- Repérer des caractéristique qui permettent de distinguer la nature des objets (objet d'art, objet usuel, objet symbolique, design »
niveau 3ème
« Les dispositifs d'enseignement permettront aux élèves d'apprendre à :
- Expérimenter et réaliser des productions en rapport avec l'espace « ... »
- Produire in situ, exposer leur travaux selon différentes modalités.
Elles permettent également de modifier des espaces pour en travailler le sens. Les élèves sont amener à :
- Expérimenter physiquement l'espace bâti ;
- Modifier les points de vue fixes et mobiles ;
- Transformer la perception d'un espace par modification de la lumière, des couleurs, et intrusion d'effets visuels ou d'objet
« ... »
Elles permettent de découvrir et de s'approprier l'environnement quotidien. Les élèves sont amenés à :
- Répertorier des modalités d'exposition : accrochage, mise en scène, mise en espace ;
- Découvrir des pratiques artistiques contemporaines en relation avec l'espace : in situ, installation, environnement, lad art. »
compétences
Les élèves ont acquis une expérience artistique suffisante pour :
- Réaliser une production artistique qui implique le corps (geste, mouvement, déplacement, positionnement dans l'espace) ;
- Produire du sens en disposant des objets, des matériaux, des volumes dans un espace déterminé.
- Prendre en compte le lieu et l'espace comme éléments constitutifs du travail ;
- Transformer la perception d'un espace (représenté, naturel, ou construit). »
auteurs :
stage didactique et nouvaux programmes 2008/2009
Information(s) pédagogique(s)
Niveau :
tous niveaux
Type pédagogique :
préparation pédagogique
Public visé :
enseignant
Contexte d'usage :
travail à distance